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EDITO
La santé mentale des Autochtones
En décembre dernier, lors des Journées annuelles de santé publique, des membres du réseau Qualaxia ont contribué à l'organisation d'une journée entièrement consacrée à la santé mentale en milieu autochtone. J'ai animé deux ateliers pour cette occasion et j'ai encore une fois constaté l'urgence et l'ampleur du travail à faire avec les communautés autochtones.
Un dossier thématique sur cette importante question se trouve sur notre site Web. Nulle part ailleurs, les répercussions des politiques publiques sur la santé des personnes ne sont plus évidentes que dans les communautés autochtones, là où on assiste à l'isolement, à la marginalisation, à l'assimilation et à la règlementation de leurs groupes. Cependant, ces conditions sont souvent ignorées ou classées dans les dossiers jugés « trop difficiles ».
Le projet Mirerimowin, dont le nom signifie « être bien », possède maintenant son propre site Web. Ce projet propose d'élargir le savoir sur la perception qu'ont les jeunes Autochtones du bien-être et du contexte plus général dans lequel celui-ci est développé, favorisé ou entravé. Je vous invite à prendre connaissance du travail des cochercheuses du projet, Georgia Vrakas, professeure à l'UQTR, et Arlene Laliberté, stagiaire postdoctorale au CRCHUM et à l'INSPQ, toutes deux membres du réseau Qualaxia.
N'hésitez pas à communiquer avec moi ou avec un membre de mon équipe pour nous faire connaître vos projets en lien avec la santé mentale des populations.
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Mise en œuvre de soins hiérarchisés : une étude de cas
La mise en œuvre de soins hiérarchisés dans le domaine de la santé mentale est un sujet d'intérêt, puisque plus de 60 personnes, réparties sur 11 sites de vidéoconférence au Québec, ont assisté à cette Dégustation de savoir.
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